Quand les données personnelles s’échappent : l’affaire « cambridge analytica »
En mars 2018, le quotidien américain The New York Times et le britannique The Guardian ont révélé comment une entreprise fondée à Londres, et inconnue du grand public jusque-là, a recueilli les données de dizaines de millions d’Américains sans leur consentement début 2014. Quelques mois plus tard, ce sont près de 50 millions de comptes utilisateurs de Facebook qui ont été piratés. Des affaires qui relancent la question de la protection des données personnelles.
Fausse information sans frontières : le cas autrichien
Incroyable : une Autrichienne de 18 ans a porté plainte contre ses parents après que ces derniers ont refusé de retirer de Facebook les 500 photos d’elle qu’ils avaient prises pendant toute son enfance. Cette plainte pour violation de la vie privée a fait le tour du monde : des médias américains, anglais, allemands, vietnamiens, français ont relayé l’information en se recopiant les uns les autres. Une information virale… qui s’est révélée fausse.
Big data, le minerai du XXIe siècle
Usages des réseaux sociaux, requêtes sur des moteurs de recherche, achats en ligne, mails, écoute de musique… toutes ces activités sur Internet génèrent chaque jour des milliards de données et forment ce que l’on appelle le big data. Analysées et exploitées, sans cesse actualisées, ces données représentent potentiellement d’immenses sources de revenus.
Les traces, l’ombre de l’identité numérique
L’identité numérique se construit à partir des traces volontaires ou involontaires, subies ou choisies, que laissent les internautes lors de leurs activités sur Internet (recherche et publication), particulièrement quand ils utilisent les réseaux sociaux et les objets connectés.
À qui profite le big data ?
Aujourd’hui, de plus en plus d’informations sont stockées dans des serveurs, via d’immenses ordinateurs connectés. Non seulement les informations que nous consignions auparavant sur du papier, mais aussi les traces de notre activité sur Internet : messages sur les réseaux sociaux, visites de sites, photographies partagées… On appelle toutes ces informations des données.
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Les digital natives n'ont besoin de personne et autres idées reçues sur les jeunes et l'info
Tous les adolescents auraient le même comportement et les mêmes activités sur le web. D’ailleurs, leurs compétences numériques en feraient des mutants naturellement hyperconnectés qui n’ont plus besoin de leurs parents. Et si la réalité était plus complexe ? Trois universitaires déconstruisent des idées reçues sur le rapport des jeunes à l’information.
Le décodex, un guide pour savoir à qui faire confiance sur internet
Lorsqu’on s’informe via Facebook, Twitter ou même en utilisant Google News, il est parfois difficile de savoir si ce qu’on lit est fiable ou s’il s’agit d’informations mensongères, trompeuses ou manipulatrices. Les sites sont très nombreux, leur forme est souvent proche, avec une photo, un titre, des rubriques… Mais sont-ils fiables ?
Les enfants, cibles privilégiées des publicitaires
Nous sommes quotidiennement exposés à un déluge de messages publicitaires. La plupart proviennent de nos écrans et nos enfants sont une cible de choix pour le marketing. Petits conseils et réflexions pour mieux les débusquer.
Vérifier l’info en famille
On en parle beaucoup dans le débat autour des fake news* (fausses informations), mais au fait, c’est quoi une information ? Lorsqu’on évoque les faits d’actualité, on utilise en général trois critères pour les définir : il faut d’abord que ce soit un fait nouveau, qu’il ait un intérêt pour le public et, surtout, il doit être vérifié. C’est ce dernier point qui distingue l’information de la rumeur ou de l’intox, par exemple. Mais à l’heure où les jeunes consomment de plus en plus d’information v…