YouTube, une plateforme qui nous connaît bien
A partir de cas réels, les élèves de cycle 3 s’intéressent au fonctionnement de l’algorithme de recommandation de YouTube. Identifier les moyens mis en œuvre par YouTube pour capter l’attention de ses utilisateurs et comprendre quel est le modèle économique de la plateforme, tels sont les objectifs de cette séquence d’1h30.
D’abord, les élèves établissent l’identité numérique et les centres d’intérêt d’un utilisateur inconnu après avoir observé sa navigation et sa page d’accueil sur YouTube. …
L'impact de la concentration des médias sur l'info
Questionner la concentration des médias français et l’influence de leurs actionnaires est une question complexe mais nécessaire à aborder en classe. A partir de multiples documents, l'objectif de cette séquence est de comprendre comment ces propriétaires peuvent parfois avoir une influence sur la ligne éditoriale d’un média. Les élèves de première et de terminale pourront ainsi mieux appréhender les subtilités de la composition du paysage médiatique, s’interroger sur l’impact potentiel de la c…
Webinaire de formation
Découverte de l'exposition et du dossier pédagogique
Ressources supplémentaires
Présentation de deux ressources en lien avec l'exposition
Accès aux expositions
Description des 2 versions de l'exposition "Fake news : art, fiction, mensonge"
Dossier pluridisciplinaire
Dossier d'accompagnement de l'exposition "Fake news : art, fiction, mensonge"
La publicité dans les médias
Les copains du collège ont décidé de lancer leur propre journal pour raconter la vie du quartier. Comme ils n’ont pas d’argent, ils ont fait le tour des commerces et institutions du coin : le cinéma, le théâtre et même la mairie ont accepté de leur donner un peu d’argent contre une publicité dans le journal. Mais après un article de Leonard disant que la dernière pièce à l’affiche était nulle, le théâtre ne veut plus leur donner d’argent et les copains sont à sec. La pub permet à un journal de …
Nous sommes tous médias
Dimanche, il y a eu un incendie à la pizzeria en face du collège. Une partie de la classe était réunie au kébab juste à côté. Cindy a posté des photos sur Photogram. et Léonard et Fama ont recueilli les premières réactions sur place. Cette dernière a tout raconté sur les réseaux sociaux, et a notamment rapporté de fausses informations.
A l’heure des réseaux sociaux nous sommes tous un peu médias. C’est utile mais complique les choses et peut aboutir à des dérives.
La théorie du complot
C’est devenu l’obsession de Kamel : il est persuadé que son prof d’anglais a une dent contre lui. Comme par hasard, il n’a jamais la moyenne et ce malgré tous ses efforts. Il commence à croire qu'il s'agit d'un complot et décide d'en parler à ses parents. Sa mère prend alors l'exemple des attentats du 11 septembre pour lui expliquer ce qu'est vraiment la théorie du complot...
Le pluralisme des médias
L’équipe de foot de Troupaumé est nulle cette saison. Elle enchaine les défaites et les joueurs se détestent entre eux. Mais le Canard boiteux répète chaque semaine qu’elle progresse. Pourquoi ? Peut-être parce que le propriétaire de l’équipe est aussi celui du journal… Journal qui soutient toutes les actions du maire, même les plus critiquées. Le problème c’est qu’il n y’a que Le Canard boiteux pour informer les habitants de Troupaumé. Il y a un sérieux problème de pluralisme des médias dans l…
Un réseau social, ce n'est pas un journal
En ce mois de juin, le Canard boiteux a lancé un défi aux élèves : raconter chacun leur année au collège sur leur réseau social préféré. De son côté le journal sortira un numéro spécial où ses reporters raconteront l’année à leur façon. A la fin du mois on compare : rien à voir entre ce que racontent les élèves et les journalistes. Un réseau social ce n’est pas un journal : plus de subjectivité, plus de buzz, moins de synthèse, moins d’information.
Un réseau social, ce n'est pas un journal
En ce mois de juin, le Canard boiteux a lancé un défi aux élèves : raconter chacun leur année au collège sur leur réseau social préféré. De son côté le journal sortira un numéro spécial où ses reporters raconteront l’année à leur façon. A la fin du mois on compare : rien à voir entre ce que racontent les élèves et les journalistes. Un réseau social ce n’est pas un journal : plus de subjectivité, plus de buzz, moins de synthèse, moins d’information.