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Vous trouverez dans cette rubrique : 24 ressources pédagogiques

  • Quel modèle économique derrière la désinformation ?
    Publicité et financement participatif : une formule simple, efficace et parfaitement légale. Voilà la recette des créateurs d’infox pour générer des bénéfices conséquents. Analyse des sources de revenus de l’industrie très lucrative de la désinformation.
  • Savoir analyser les désordres informationnels
    Les objectifs de cette séquence sont d'apprendre à reconnaître différents types de désordres de l’information, en s’interrogeant notamment sur l’intentionnalité de l’émetteur et de savoir utiliser efficacement divers outils pour évaluer la fiabilité d’une information.
  • Investigation sous pression : le cas breton
    Dans le cadre de son travail, un journaliste peut faire face à un certain nombre de résistances de la part d’acteurs pouvant être mis en cause dans une enquête. Intimidation, menace, procès-baillons : l’objectif est de le dissuader de mener à bien son enquête. En Bretagne, un collectif s’est créé pour soutenir le travail d’investigation.
  • Evaluer l'information
    Face à l’amplification des désordres informationnels sur le web, savoir évaluer la qualité et la pertinence d’une information, mais aussi la valeur d’une source, sa fiabilité, la crédibilité de son auteur sont des compétences essentielles. Au-delà de la logique vrai/faux, il s’agit d’apprendre à adopter une démarche de questionnement critique face aux sources et à construire des critères d’évaluation de l’information.
  • Santé et alimentation : une désinformation mondiale lucrative
    Sur le web, de nombreux sites répandent des infox liées à l’alimentation, à la santé et plus généralement aux sciences. Ces sites, qui ont fait de la rumeur leur modèle économique, jettent volontairement le flou sur des études scientifiques publiées en anglais pour s’acheter une crédibilité.
  • Comment les lobbys industriels peuvent manipuler l'information scientifique
    À la suite de l’industrie du tabac qui a développé une batterie de stratégies dans les années 1950, des pans entiers de l’industrie manipulent l’information scientifique dans le but de soutenir la vente de produits toxiques.
  • D’où viennent les théories du complot ?
    Les théories du complot prospèrent aujourd’hui sur les réseaux sociaux ; elles n’ont évidemment pas attendu l’existence de ces médias pour se développer. Et si elles se nourrissent de l’époque, elles reposent d’abord sur des mythologies bien implantées dans l’imaginaire collectif, ressurgissant au gré de l’actualité.
  • Comment les rédactions choisissent les dessins de presse
    Publier un dessin de presse dans un journal demande de respecter la liberté d’expression du dessinateur, tout en faisant en sorte que le dessin choisi corresponde bien à la ligne éditoriale du journal. Deux impératifs qui nécessitent la mise en place d’un circuit de validation très précis.
  • Covid-19 : évaluer la fiabilité des discours scientifiques sur YouTube
    Ils s’appellent DirtyBiology, Micmaths, Scilabus, E-penser, Manon Bril... Sur YouTube, leurs vidéos de vulgarisation atteignent des centaines de milliers de vues, saluées autant par leurs fans novices que les grands pontes scientifiques. Cependant, s’y retrouver dans l’offre pléthorique de la plate-forme n’est pas évident. Comment savoir si l’on peut faire confiance à une vidéo scientifique trouvée sur YouTube ?
  • Comprendre et expérimenter la liberté d’expression
    Droit fondamental de la République française, la liberté d’expression est souvent l’objet d’une mauvaise compréhension de sa nature et de ses limites. Cette séquence, en s’appuyant tant sur les connaissances que sur une mise en situation, propose aux élèves d’appréhender cette valeur fondatrice de notre « vivre ensemble » et de la mettre en pratique avec humour.
  • La modération des réseaux sociaux, entre prise de conscience et impuissance