Scénario 2 - Explosion à l'Usine (4ème>terminale)
Classe investigation - Scénario 1 - Alerte au Zoo (6ème>terminale)
Le bourgeonnement des médias écolos
Ces dernières années, la crise climatique a eu un autre effet, plus positif que la hausse des températures ou la dégradation de la biodiversité : la création de plusieurs jeunes médias dédiés à l’environnement. Un écosystème médiatique où les lignes éditoriales sont complémentaires, qu’elles soient fondées sur l’investigation ou la pédagogie, les luttes environnementales ou la contre-culture écolo.
Quand les bulletins météo informent sur le climat
Les bulletins météo, programmes télévisuels présentant les prévisions météorologiques, battent très souvent des records d’audience. Désormais, certains bulletins se donnent une mission complémentaire : informer sur le climat. Dans cette séquence, les élèves apprennent à différencier les notions de météo et de climat et s’interrogent sur l’évolution de ce format médiatique.
Créer une webradio
La webradio conjugue le travail sur les modes d’expression (oralité et écriture) avec ceux des techniques de réalisation (création, production et diffusion en ligne) et des démarches d’apprentissage collaboratives (investigation, projet) et d’éducation aux médias (ligne éditoriale, notamment la prise en compte du public cible). Mettre en œuvre une webradio avec ses élèves permet de développer et de valider des compétences transversales du socle commun, d’Éducation aux médias et à l’information,…
Dossier pédagogique Journalisme de solutions
Elaboré en partenariat avec les CLEMI académiques de Lille, de Créteil et l'association Reporters d'Espoirs.
Dérèglements climatiques : quel impact sur le traitement de l’information ?
Le marketing d’influence à l’heure du dérèglement climatique
Selon le 6e rapport du GIEC (avril 2022), « les influenceurs sociaux et les leaders d’opinion peuvent favoriser l’adoption de technologies, de comportements et de modes de vie à faible émission de carbone ». Des influenceurs pour qui la prise de conscience, commencée pendant la crise COVID, reste pour l’instant une microtendance sur des réseaux sociaux vantant des modèles de surconsommation.